Planche présentée le 28 novembre 2016 à la Loge “La table d’Émeraude” de la G.L.F.S.. On peut être ou ne pas être d'accord avec les interprétations de ce travail basé sur une recherche très fouillée. En tout cas, que nous sommes heureux de pouvoir publier en toute liberté un texte qui aurait valu le boucher à l'auteur il y a quelques centaines d'années.
L’histoire de Jean est exclusivement juive, car les judéo-chrétiens ne se sépareront définitivement du judaïsme qu’un jour de printemps de l’an 325 au concile de Nicée, voulu et fermement orienté par l’empereur Constantin le grand, et ce, à des fins politiques, mais c’est là une autre histoire.
Jean n’est pas un apôtre, il n’est pas le frère de l’apôtre Jacques de Zébédée, il n’y a plus que l’église catholique pour en soutenir la thèse. Il est un jeune patricien Jérusalémite bien dans son époque de questionnement sur l’homme face à un Dieu qui ne s’est pas encore trouvé. Ce Dieu judéen transparaît dans la Torah écrite et dans toutes les interprétations orales qu’en faisaient les tendances : pharisiennes, sadducéennes, esséniennes, nazaréennes et zélotes.