Musique : Thème de l’invitation au château de Jean Anouilh composé par Francis Poulenc.
https://www.youtube.com/watch?v=8mYvpycGf8w
Acte I piste 1, 10 premières secondes.
Préambule.
Tenir un rôle, de quoi s’agit-il ? Être devant vous en ce midi et vous parler du je(u) que l’on joue lors de notre ordinaire, tout en le jouant moi-même. Le théâtre en abîme. Monter sur les planches. Quand le thème de cette planche s’est dessiné, après qu’il fut d’abord question des sons et silences en musique, je me suis dit qu’il était sans doute plus approprié ; d’autant que pour parler du silence, encore eut-il fallu le faire pour ne point l’étioler ; cette planche aurait donc pu ne pas avoir de raison d’être, tout comme raconter la lumière pour en faire comprendre la beauté peut être vain. J’ai choisi de faire cet exercice à la mode de ce que j’aime dans la musique baroque, quand je touche le clavecin ou l’écoute : via des pièces courtes, des danses ou des pièces de caractère, un florilège de concepts choisis dans des moments et des symboles de la tenue au 1er degré, où la théâtralité s’invite.
Au lieu du silence, je vais vous parler de je(u), de scène, vous conter des éléments de la tenue au 1er degré symbolique qui m’ont une fois marqué. Des éléments qui m’ont donné, une fois (spécial dédicace à mes FF belges), l’envie de continuer à m’engager auprès de vous mes FF. Ces moments et anecdotes m’ont permis d’aborder en silence des problèmes importants pendant mon voyage d’apprenti. Ce périple est celui de voyages locaux récurrents, en tenue dans notre RL, en résidence comme on dirait dans les milieux artistiques. Apprenti, on est plus visité que visiteur, tel l’enfant qui ne connaît bien que sa famille, et où le caractère ubiquitaire de l’orient nous est encore inconnu.
Molière nous dit que la comédie se voyait « corriger les vices des hommes en les divertissant ». Prendre le masque peut-il nous permettre de les faire tomber ? Parler de théâtre, c’est prendre le risque de se montrer tel qu’on est. Car derrière le masque transpire indéfectiblement les entrailles de celui qui croit être un autre. Ainsi, vous reconnaîtriez entre mille les intonations d’un Lucchini ou le jeu typé d’un pianiste qui vous est cher, Gould ou Horowitz par exemple. Quand bien même la pièce jouée est unique ou son compositeur bien connu, l’interprétation sera toujours différente en intention et en production, avec cette variabilité synonyme d’humanité. Tel le grain d’un meuble sculpté à la main, cette imperfection demeure un signe tangible de la chaîne d’union, ici entre le compositeur et les générations d’interprètes qui lui auront succédé. Nous vivons avec nos morts comme avec nos vivants. Ainsi en est-il de l’expérience théâtrale, pour celui qui joue comme celui qui se contemple dans le miroir de l’impétrant en assistant à la représentation. Ce qu’il voit est un peu de chacun de nous et de ceux qui ont été. La pièce se joue avec une jauge de spectateurs plus grande qu’elle n’en n’a l’air, et la troupe sur scène est devenue légion.
Musique : Thème de l’invitation au château de Jean Anouilh composé par Francis Poulenc.
https://www.youtube.com/watch?v=8mYvpycGf8w
Acte I piste 1, suite. De 0:10 à 0:53
Paradoxes.
Pardonnez-moi un moment d’autobiographie du théâtre de ma vie. J’ai longtemps été un grand spécialiste des Vaudeville et mélodrames amoureux revisités à ma façon. J’en ai appris toujours, il m’en a coûté parfois, il m’en reste des souvenirs vivaces et souvent revisités pour qu’ils le soient de manière arrangeante. Il est souvent instructif, d’expérience de vivre d’une façon et de vivre son contraire.
Au rang des paradoxes, je me suis pris à rêver de jouer de grands monologues à en faire pâmer Maître Bonnant, des logorrhées qui ont parfois, avouons-le, tout de la diarrhée verbale – pourvu qu’on l’exonérât avec élégance. A contrario, je sais qu’on ne doit jamais oublier ce que l’on doit à d’autres et aimé les représentations de groupe. (Au passage, en parlant de loyauté, l’émancipation est à mon avis la plus belle des façons de s’acquitter de ses dettes morales). De même, j’ai toujours préféré les récitals solos aux expériences d’orchestre ou de musique de chambre puis regretté parfois de ne pas être dans la fosse moi aussi. J’ai aimé m’oublier dans l’ascèse d’un cloître, mais aussi disparu dans l’exaltation du groupe, en politique par exemple ; car quitte à sombrer dans les excès d’un groupe, autant choisir celui où tous les coups les plus vils sont à attendre, où le clou du spectacle n’est su qu’après moult rebondissements. De vivre la thèse, l’antithèse, et dans le meilleur des cas de tenter une synthèse.
https://www.youtube.com/watch?v=8mYvpycGf8w
Mouvement de valse
8:56-9:40 (ou idem 3:21 à 4 :00)
Identité.
Jouer pour exister. Faire semblant pour être « reconnu comme tel ». Demander pour recevoir. Frapper pour qu’on vous ouvre. Tiens, moi par exemple, j’ai retrouvé mes racines. Elles remontent à Toubal Kayin (Genese 4, 22). Toubal nom d’un peuple du Nord au pays des métaux, Kayin, le forgeron. (accélérer le ton) C’est donc tout à fait moi, Forget le Forgeron, venu de l’Orient par le Septentrion, car la terre étant ronde, a + a = b et x, y, z hophophop, enfin vous savez comme-moi que tous les chemins mènent à Jérusalem. (silence)
S’inventer une vie serait donc notre histoire à tous ? Nous sommes tellement en ce monde qu’il devient difficile d’avoir une idée « originale », de faire « une découverte ». Difficile d’imaginer quelque chose que quelqu’un d’autre ne soit pas lui-même déjà en train de faire alors que vous avez à peine posé un concept. Se singulariser serait donc jouer son rôle, d’occuper pleinement son plateau, celui de son choix ou celui qu’on se voit imposé, la clé pour se plaire à soi-même. Se singulariser, c’est aussi proposer une déclinaison de soi à l’autre, puisse-t-il l’entendre, puisse-t-il la trouver audible. L’issue finale est pourtant fatalement une improvisation revêtue d’un peu de ce qu’on avait l’intention de faire comprendre et de ce que le spectateur a réellement saisi.
Nous ne sommes ni noirs ni blancs. Une descente fractale en chaque carré blanc ou noir pour en retrouver deux autres blanc et noir également, se perdre dans l’infini d’apparentes nuances de gris. C’est à dire qu’un acteur ne joue pas un seul rôle en une vie. Sous une peau et un visage, j’adapte en permanence à des degrés variables ma personnalité à l’interlocuteur. Selon mes mythes intérieurs, références préalables, attentes, je ne peux envisager d’être le même quand je dois établir le lien avec l’autre. N’étant jamais seul, mes messages seront véhiculés, triangulés, et restitués plus ou moins fidèlement par un maillon puis l’autre. Nous vivons avec nos morts comme avec nos vivants. Du passé il n’est pas si simple de faire table rase. Imprudent aussi de ne pas préparer la prochaine révolution. Pas si simple d’être seulement progressiste ou seulement conservateur.
Ouverture en sol mineur Johan Joseph Fux 1ères 28 secondes.
https://www.youtube.com/watch?v=5V3urb7ekZ4
En tenue.
L’ouverture des travaux & les changements de rythme.
(Parler lentement, ambiance méditative et désolée en fin de paragraphe)
Apaisement. Descendre en soi, respirer. Mais le moment de calme intense précédant l’ouverture des travaux passe bien trop vite à mon goût. J’aimerais m’y perdre, y ressentir l’égrégor comme lors de la chaîne d’union, après le long périple d’une journée de travail. Trop soudainement, la lumière nous est donnée et semble vouloir nous empêcher de contempler trop longtemps la voûte étoilée.
(Jouer le rôle de manière espiègle avec grande vivacité)
Les travaux sont à couvert. Se présenter sous son meilleur jour devient alors l’affaire de tous. On s’est apprêté, on s’est déguisé pour cela, à qui aura l’accoutrement du meilleur pingouin de ce midi. Parfois une chaussette trop basse (oui, toi là-bas mon frère), un tablier qui remonte, un qui descend, un nœud papillon qui flanche. Être beau comme à la noce ! Lourde tâche ! Le nord et le sud se scrutent en chien de faïence. Cour et jardin se font face. L’Orient est sous le feu des projecteurs, le couvreur et le frère baladin peuvent s’endormir en régie dans l’obscurité. L’un se relâche et s’assoupit, faisant semblant d’être concentré sur la tirade de l’orateur. N’est pas le plus beau qui veut. Au repos, aucun d’entre nous n’aspirera tant qu’on n’aura pas montré qui représente mieux qu’autrui Gloire, Sagesse, ou beauté. Pourquoi ? (silence)
(Solennellement) Parce que la tenue est l’un de ces rares moments où il nous est donné conscience de voir que les étoiles brillent, nous y caressons l’espoir de ne pas oublier qu’elles ne cessent de briller en plein jour. En plein jour, la lumière se cache à elle-même, car les zones d’ombre y sont trop visibles, l’œil est trop stimulé, et distrait par le futile. Ce n’est pas une heure pour les créateurs, pas une heure pour les artistes couche-tard. C’est pourtant hors du temple où incessamment nous devons tailler notre pierre brute, dans le vacarme des travaux de la vie profane, loin du calme précédant à l’ouverture des travaux de la vie de loge.
Contemplez les étoiles, n’oubliez pas qu’elles brillent.
Les étoiles, Michel Corrette 36 premières secondes
https://www.youtube.com/watch?v=wfPoyxccybE
La marche.
Une vraie leçon de maître de jeu théâtral à chaque tenue. Dis-moi comment tu marches, je te dirai qui tu es. Les pas. 3 pour avoir le temps de prendre conscience. De l’attention grandissante à chacun d’entre eux. De l’anticipation nécessaire des distances pour n’atteindre qu’en 3 pas sa cible, ne pas la dépasser ou en rester trop loin pour commencer le travail, se placer entre les 3 piliers qui dirigent la loge. Droite, équerre et perpendiculaire. La marche est un moment récurrent dans le rite au 1er degré. Sans cérémonie à l’entrée de tous, elle est une chance pour l’apprenti de voir à de nombreuses reprises au long de la tenue tous ses congénères se mouvoir chacun à leur façon, se voir dans ce miroir qu’ils nous offrent par la similitude de notre uniforme. On peut y repérer quelques rares singularités afin de se projeter en celui qu’on préfère ou se prendre à espérer faire mieux que ce que les autres feraient, dans notre imaginaire. Des mots qui résonnent : (depuis l’enfance parfois) « tiens-toi droit » ; les pieds en équerre ; sois plus affirmé ; ne sois pas trop strict non plus. Quel visage devrais-je donner moi-même pendant ce déplacement au vu et au su de tous ? Ainsi nous est-il donné de contempler incessamment la danse des frères et sœurs autour du carré long, représentation quadrangulaire d’un espace et d’un temps infinis, de l’orient à l’occident, du midi au septentrion, de l’équinoxe des beaux jours à celle des feuilles mortes, du solstice des cimes enneigées à celui des plages ensoleillées. Un vrai tableau de loge, un tapis... volant.
Marchons, mes frères.
La marche des Scythes, Pancrace Royer, 35 premières secondes.
https://www.youtube.com/watch?v=mC5dDlmtrZs
La triangulation.
C’est un moment difficile pour l’homme pressé que je suis. Insupportable principe qui incarne pour moi de parler aux Saints avant Dieu. De se perdre dans le labyrinthe infernal du dit ‘téléphone arabe’. Quelle meilleure façon d’échouer pour arriver à ses fins que d’avoir des intermédiaires. Qui me rappelle dans son extrême ce dessin animé d’Astérix dans ses 12 travaux, dans le dédale de l’administration des fous, mise en abîme dans sa rediffusion incessante et labyrinthique à chaque Noël sur les chaînes du service public, un Astérix perdu dans les couloirs de ce bâtiment sans issue à moins de trouver le fichu formulaire A38 (https://www.youtube.com/watch?v=c45FtDhdDoY; ( mettre en exemple les 40 premières secondes).
Mais c’est sans doute un moment tellement fondamental pour me rappeler notre interdépendance. Et que cela fonctionne si tous ont la bienveillance de ne pas briser la chaîne d’union, ne pas interrompre la diffusion du savoir et de la parole sur nos colonnes. Nous nous ressemblons tous assez pour nous reconnaître comme frères tout en étant chacun un écho l’un de l’autre. La vigilance est de mise. Si l’un omet le respect d’un élément du rituel un frère souffleur est toujours là en coulisses pour lui rappeler avec amabilité qu’il a peut-être oublié son texte. Cependant, cette même chaîne d’union est fermée sur elle-même, telle ne l’est pas la corde à nœuds. Si la corde à nœuds semble recouvrir l’Orient en protectrice, elle reste ouverte vers l’occident. Je souhaiterais y voir une nécessité de nuancer entre l’entre-soi extrême de la RL, et l’invitation qui nous est faite de ne jamais oublier nos semblables. Tout se joue certainement dans le public, dans le monde profane. C’est du monde extérieur, de la vie sociale, que naissent les pièces de théâtres, tragédies et comédies. On peut chercher la vérité chez l’artiste, tel le fan, qui accoure en coulisses ou en loge, pour aller au plus près de l’orient, avoir rendez-vous avec le soleil ou la lune, à la recherche du veau d’or, mais rien ne remplacera de vivre dans le monde, de l’explorer du Zénith au Nadir.
Incarner pour se réaliser et ‘réfléchir’ pour exister.
Y croire pour le devenir, le faire pour l’être. Être le premier à croire à son texte, à l’incarner, j’en suis persuadé, est la meilleure façon de convaincre autrui de ce que l’on veut être. Cela s’appelle une prophétie auto-réalisatrice. La prophétie peut être salutaire, mais souvent, hélas, elle incarne le doute que l’on a donné à sa propre identité. Être responsable à mon sens, c’est porter son identité voulue, au firmament. Être conscient de ses limites actuelles certes, mais les repousser tout en assumant d’être Mozart ou Napoléon si c’est le destin qu’on s’est choisi. En assumant d’être Mozart et Napoléon à la fois, si c’est le destin qu’on a préféré ; si on a préféré choisir deux fois ; le pire étant de ne pas savoir choisir et de n’être jamais pleinement l’un ou l’autre de manière durable ou de n’y avoir jamais cru assez. Telle la mobilité qui nous concerne, j’ai pu l’observer, avec grande plasticité dans un parcours de maître maçon, entre un plateau d’officier et l’autre, ainsi en est-il de la vie. Et cette leçon d’adaptabilité, de savoir un jour être Bonaparte (je sais je parle un peu trop de Napoléon ça doit cacher quelque chose) et l’autre jour balayeur de rue. Ma femme aime beaucoup les boules à facettes, j’ai toujours trouvé cela un peu ridicule mais finalement cela m’a inspiré une idée. Être soi et ses doubles, c’est être une boule à facettes, à défaut de pouvoir espérer être à soi seul une voûte d’étoiles. Parce que les étoiles ne sont brillantes que pour qui les contemple. La boule à facettes n’est pas ontologiquement source de lumière. On ne sait ce qu’elle contient mais seulement ce qu’elle revêt, Elle est là comme vous mes frères pour réfléchir la beauté du jour, mes frères. Qu’elle ricoche sur nos vivants et nos morts.
Pavane pour une infante défunte, Maurice Ravel
https://www.youtube.com/watch?v=tn6_yT9SKpM
Laisser tourner pendant la conclusion
Conclusion.
Sur cette scène de la tenue au 1er degré, enfin, j’ai vu des gens sensibles au pouvoir émotionnel des mots. Sensibles au point de parfois en oublier la valence symbolique, au point de ne plus pouvoir tempérer leurs ardeurs, condamnés à vivre le drame de manière intense, ainsi dans les moments qui ont animé notre loge l’an passé. Ces moments tragiques, c’était bien. La tragédie est toujours instructive, et un peu tragi-comique à mon sens … le mot tragédie en lui-même même peut faire sourire quand on se souvient de l’étymologie de « tragoidia », désignant tragoi le bouc, et oidie, le chant. La tragédie serait donc simplement le chant du bouc, qui connaît le sort inexorable qui l’attend sur l’autel du sacrifice. Peut-être l’ignore-t-il d’ailleurs, car le héros de la tragédie tel l’animal n’aurait d’après certains pas conscience de sa condition de mortel, heureux soient les imbéciles. Du recul, le recul du spectateur hors du temple, celui du critique littéraire qui couche ses idées sur une pièce de manière injuste parfois pour son géniteur, sont assurément nécessaires pour mieux comprendre la pièce donnée chaque fois que midi est plein. Dans tous les cas, vénérable maître, dignitaires qui décorez l’orient et vous tous mes frères en vos grades et qualités, avec nos décors clinquants mais qui ne sont que symboles, vous tous qui un jour avez trop chaud, l’autre trouvez la tenue trop longue, vous qui voulez des hommes des vrais, vous qui voulez des femmes à ne plus savoir qu’en faire, vous qui n’aimez pas truc et qui préférez machin, vous qui voulez ‘réseauter’, vous qui préférez méditer, vous qui manquez d’amis et ne manqueriez une agape pour rien au monde, vous qui manquez de temps pour partager nos agapes, nous tous avec nos défauts, nos grades et qualités, j’espère que nous aurons l’occasion d’organiser les meilleures tournées théâtrales du monde. Que ces tenues soient longues et prospères, qu’on arpente les routes entre maîtres et compagnons, qu’on s’engueule, qu’on s’insulte, qu’on se réconcilie, qu’on tape des batteries et qu’on allume des canons à chaque solstice, qu’on s’aime. A présent le rideau tombe. La poursuite s’abat sur moi. J’ai ma feuille de route dans le monde profane, les deux carrières - musicale et médicale - que je me suis imposé, avec qui sait peut-être la mission de plaire à deux pères, faire mieux à mon tour que ce qu’ils ont fait. Tenter d’accompagner quelqu’un qui serait sur mon chemin quand il sera temps. De même, en maçonnant, je vais encore grandir avec vous mes frères et mes sœurs. Polir ma pierre brute, que votre main guide mon geste de taille encore maladroit. Peler mon oignon, et pleurer parfois en arrivant au fruit. Ne pas oublier la grandeur de la chaîne qui nous unit, telle est ma mission future. J’apprends à vivre avec mes vivants comme avec mes morts, avec ceux qui sont ici et ceux qui ont basculé vers l’Orient éternel. La pièce se joue avec vous tous mes frères.
J’ai dit.
L’hymne à l’amour, Piaf jusqu’à 1 :15
https://www.youtube.com/watch?v=QvHph2zrMrA
App : JSF RL Le Labyrinthe
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Illustrations
*Réplique de masque de théâtre en marbre pentélique trouvé à Athènes près de la Porte Dipylon. Elle appartient au type du Premier esclave de la Nouvelle Comédie. IIe s. av. J.-C. Marsyas (2005) CC Attr-Share Alike 3.0 Unported
**Tubal Caïn devant sa forge Andrea Pisano (1334-1336), sailko 2007 GNU Free Documentation License, Version 1.2