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La piste solitaire du franc-maçon

28/3/2018

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Ils ne savaient pas que c’était impossible alors ils l’ont fait. 

Je relis le sms de mon patron, frère et mentor dans le véhicule qui s’embarque sur l’autoroute. L’ignorance peut effectivement contribuer à des succès, mais je ne suis pas totalement sur à ce moment précis de pouvoir courir pendant 72 kilomètres pour rallier St Etienne à Lyon. De plus le parcours se fait par les chemins, de nuit et en plein mois de décembre. Mon cerveau essaye de me convaincre d’une possible réussite mais mon corps m indique le contraire car il se rappelle des précédentes éditions rude pour l’organisme et le moral, pourtant ce n’étaient que des épreuves raccourcies : 25 kms la première fois et 44 pour la seconde d ou la peur qui se fait sentir.

J’ai froid malgré les sièges chauffants de la voiture à puissance maximum, j’ai la nausée j’ouvre un peu la fenêtre l’air glacial d’une nuit hivernale s’engouffre dans le véhicule et me rappelle la difficulté de l’épreuve qui va suivre.


Afin de me recentrer sur moi-même je ferme les paupières et je baisse mon bonnet sur mes yeux, immédiatement je me revois quelques années en arrière, je pénètre dans un temple de Villeurbanne les yeux bandés, tenu par le bras et guidé sur une chaise au milieu d’une grande pièce. Le silence se fait pesant jusqu’ au moment ou  un « monsieur » le rompt. J’ai rarement été aussi stressé je ne sais pas ce qui m’attend et je pense que cela se voit, je parle doucement et mes pieds jouent du tambour sur le parquet du temple. Les questions se suivent, je réponds de manière sincère sauf à la fameuse question sur les fondements de la loi morale ou je bredouille un « je ne sais pas » ou quelque chose dans le genre…

Cette épreuve fut un supplice, un certain manque de confiance en moi me faisait penser que je répondais à côté et que je ne serais jamais au niveau pour intégrer la franc maçonnerie j’avais terriblement honte de décevoir mon parrain. Je ressens la même chose dans cette voiture et malgré l’entrainement je ne pense pas être à la hauteur de l’évènement qui va suivre malgré les personnes qui croient en moi.

Minuit, à l’heure où les travaux sont censés être clos je rentre dans l’arène qui fait office de lieu de départ. Les ouvriers sont-ils content et satisfaits ? Ils le témoignent sur l’une et l’autre colonne. J’ai l’impression d’être le seul à m’inquiéter de la suite, tous les autres rient, prennent des photos se nourrissent. Je ne peux toujours rien avaler, mon ami et compagnon de course m’oblige à manger des abricots secs, je ne suis déjà pas fan des fruits secs mais avec la nausée c’est encore pire.

Des camions sont la afin que l’on se débarrasse du superflu tel un néophyte avant son initiation, une fois pourvu du strict minimum je m’avance vers la ligne de départ et je regarde mes frères et sœur d’un soir.

On n’est pas très loin de l’ambiance en loge, nous sommes débarrassés de nos métaux les tenues sont un peu près les mêmes, le langage et les codes sont propres aux runners et trailers.
 
Liberté Égalité et Fraternité telle est notre devise dans le temple, on peut admettre que dans cette avenue nous sommes tous égaux peu importe l’Age, le sexe la catégorie socio professionnelle, la richesse ou les connaissances. Seul compte ta motivation et ton entrainement pour aller au bout de l’épreuve. La motivation s’égrène au fur à mesure de l’approche du départ on ne peut pas vraiment dire que j’ai l’œil du Tigre... 

Le départ est donné je m’élance dans ST Etienne en petite foulées la dizaine de kilomètres urbains se fait sans trop de difficultés le terrain est plat mais le décor sans intérêt, zones commerciales, artisanales goudron. J’ai l’impression d’être un débutant à sa première course, un apprenti lors de sa première tenue le rituel n’est pas encore acquis, on se trompe dans les signes, on a envie de parler alors que l’on sait qu’on n’en a pas le droit la démarche n’est pas assurée. La non plus je ne parle pas j’en ai pourtant le droit mais l’envie n y est pas je me concentre sur mon allure et sur ma motivation, je commence à envisager l’abandon, le seul but sera d’aller le plus loin possible. 

Je quitte le goudron les premiers chemins font leurs apparitions ainsi que les premières côtes. L’humidité commence à se fait ressentir, le froid piquant jusqu’ ici devient agressif, la nourriture me procure autant de plaisir que la coupe des libations pendant l’initiation, il est de plus compliqué de boire car l’eau des gourdes est très froide. On doit la garder en bouche pour la réchauffer avant d’avaler sous peine de se détraquer encore plus le ventre. Mon compagnon de route commence à me distancer je ne tente pas de le rattraper car je dois garder un maximum de forces pour la suite la foule compacte de la course a vite fait de nous séparer et comme on est tous habilles pareil je ne le distingue plus dans ce flots de noir et de couleur vives.

 Je profite de la séparation pour écouter un peu de musique, l’isolement me fait du bien et je commence à oublier mes nausées. Les champs et les bois se succèdent le paysage est certainement magnifique mais entre l’obscurité et le fait de ne pas quitter la route des yeux sous peine d’une belle chute, je n’en profite pas beaucoup. En haut d’une colline je prends quand même le temps de regarder le serpent lumineux de lampes frontales ramper en rythme.
Un village endormi à l’horizon c’est le premier ravitaillement, mon frère de route m’attend à l’entrée du gymnase. La lumière des néons et le peu de chaleur me font du bien je bois un thé chaud et je croque une pâte de fruits, nous ne nous attardons pas afin de ne pas réfléchir à la suite des évènements et nous revoilà sur les sentiers. De nouveau s’enchainent les chemins et les bois, les montées et les descentes, la séparation est inévitable au bout de quelques kilomètres le rythme n’est pas le même je préfère être seul que forcer, je remets la musique en espérant que le temps passe plus vite mais au bout de quelques kilomètres la batterie du téléphone atteint un seuil critique et je dois rester joignable pour la matinée. De toute façon je ne supportais plus aucune chanson, la fatigue doit y être pour quelque chose mais tous les morceaux de ma playlist soigneusement préparés m insupportent autant qu’ils ont pu me transcender,  je repense aux musiques de la colonne d’harmonie notamment pendant la chaine d’union et je me dis qu’un petit air de cornemuse pourrait trouver sa place.

Il doit être 3 ou 4 h du matin quand nous traversons un hameau de quelques maisons les quelques habitants sont tous dehors autour feu de bois, ils applaudissent, tapent sur des bidons, chantent cette solidarité inattendue me fait un bien énorme et me donne un peu de courage pour l’arrivée au ravitaillement de sainte Catherine. Je passe sans m’attarder sur les bus qui ramènent les relais et les premiers déçus de la course, c’est dur, certains passagers dorment déjà il a l’air de faire chaud la dedans alors que dehors nous sommes au pic du froid. A peine passé l’étape je regrette de ne pas être monté dans un des cars je repousse l’échéance au prochain ravitaillement il reste 44 kilomètres, les parcourir me semble totalement irréaliste.

Je suis seul depuis un moment, pas sur le parcours évidement mais seul quand même. Le téléphone se met à vibrer, un ami coureur que je n’ai pas vu depuis un moment appelle il est 4 h du matin il ne dort pas et il suit mon parcours sur internet il veut juste savoir comment ça va. Quelques instants plus tard c’est J P mon PDG « tu vas finir ? » me demande-t-il. Je lui réponds « oui bien sûr » c’est un mensonge mais il n’entendrait pas une autre réponse et malgré tout je commence peut être à y croire.

La fraternité entre coureurs me rassure autant que celle de la Franc Maçonnerie. Pas de jugement, de la pure solidarité des valeurs saines et finalement la gloire du travail car sans entrainement pas de course.

Je vois de moins en moins bien, la fatigue ? Non tout simplement la lampe frontale qui faiblit, je persiste quelques kilomètres avec cette faible intensité lumineuse qui me rappelle le cabinet de réflexion sauf qu’il est quand même plus aisé d’écrire un testament philosophique à la bougie que de courir dans les sous-bois la nuit.

Je profite des feux d’une voiture d’assistance pour sortir la batterie de secours sauf que la lampe ne se rallume toujours pas. Je ne sais plus comment gérer la situation, ne pouvant rebrousser chemin je reprends donc la route direction St Genou la prochaine étape.

La route déjà hostile devient carrément dangereuse je tombe, je me cogne les pieds dans des rochers et des racines. Je revis mon premier voyage d’apprenti, je ne vois rien et j’avance sur des obstacles sans pouvoir les appréhender mais dans le temple j’avais de solides bras sur lesquels m’appuyer là je suis seul et j’avance comme je peux. Contrairement au néophyte qui une fois la lumière reçu voit des épées dans sa direction moi les épées de la nature me frappent les pieds déjà endoloris par le froid et l’humidité j’aimerais vraiment que le 1er surveillant demande la lumière au Vénérable maitre. 

Elle arrive par le relais de St Genou elle est artificielle mais me rassure un peu et surtout me permet de voir les visages décomposés et creusés de mes compagnons d’aventure ce qui me fait sentir un peu moins seul dans la souffrance. Les abandons sont nombreux, il reste 32 kms je suis proche de mon record de kms parcourus en une fois et pourtant je n’ai pas fait les 2/3 de la course. Malgré cela et sans que je puisse encore comprendre pourquoi, je me replonge dans l’obscurité  en espérant que le soleil prendra rapidement la place de la lune et que en bon compagnon je vais pouvoir rejoindre la colonne du midi bien mieux éclairée que celle du septentrion.

J’avance tel un robot j’ai l’impression que mon cerveau se déconnecte et que mon corps répète inlassablement le même rythme courir sur le plat, en descente et marcher en montée. Je n’ai parlé a personne depuis un bon moment, il n y a plus d’encouragements sur le bord du sentier plus de banderoles « allez machin » ou « bravo maman » , je suis seul avec moi-même et on peut dire que le mot VITRIOL prend son sens car pendant ces longues heures solitaires j’ai bien visité mon intérieur le plus profond et la discussion avec mon pire ennemi est virulente car le problème c’est bien moi et personne d’autre.

Les premières lueurs arrivent enfin, il reste moins de 30 kms j’entrevois la possibilité d’arriver au bout en même temps que la clarté augmente.

Le mélange lever du soleil et givre hivernal est magnifique, après des heures d’obscurité la campagne des monts du lyonnais me parait au niveau d’une œuvre d’art. 

Au détour d’un virage apparait un cheval blanc dans un champ, il est de la même couleur que le sol et m’accompagne pendant une centaine de mètre, à cet instant je me suis demandé si mon cerveau ne me jouait pas des tours ou si il y avait des substances illicites dans les pâtes de fruits. Par acquis de conscience et au risque de me rendre ridicule je demande à un autre coureur si il a bien vu la même chose, heureusement sa réponse est positive.

L’urbanité commence, on approche de Soucieux en Jarrest. Dans ma tête résonne un chiffre : 21. Il reste 21 km, des semi-marathons j’en ai fait plein ça ne doit pas poser de problème normalement, il faut juste que j’oublie la nuit blanche et les 50 kms que je viens de faire dans des conditions polaires.

Il doit être 8h00 quand Sandrine ma compagne et mère de mes enfants m’appelle et me demande si ça va. Sauf que ça ne va plus du tout, les fatigues nerveuse et physique ont repris le dessus et je sens que si je reste trop longtemps au téléphone je vais craquer alors je préfère lui bredouiller que je vais m’en sortir et qu’elle m’attende à Lyon a l’arrivée. 

Le dénivelé devient insupportable le plus douloureux ce n’est pas les montées mais bien les descentes qui martyrisent les articulations et les muscles. La batterie du téléphone est out de même que la montre GPS plus d’indications de vitesse moyenne ou de distance restante il me reste que le jugé. C’est le naufrage dans ma tête, alors que je m’apprête à passer un moment insupportable, j’aperçois un coureur sans dossard au bord du chemin qui encourage et qui applaudis les quelques participants qui passent devant lui et je reconnais mon oncle et surtout mon parrain de course, car c’est lui qui m’a initié à ce sport qui me fait tant souffrir aujourd'hui et tel un frère qui volerait au secours d’un autre avec son épée il est la en basket et sac à dos fluo en guise de tablier il m’attend pour m’aider à achever mon travail et finir cette course.

Je lui tombe dans les bras et le remercie d’être ici, nous reprenons la route je lui raconte le début de la course et mon aventure de la nuit passée, lui m’encourage et tente d’occuper mon esprit pour me faire oublier fatigue et douleurs.

 Ravitaillement de Chaponnay en vue, il reste dix kms la nature est définitivement derrière nous et malgré les efforts des organisateurs pour trouver quelques sentiers, le bitume et les moellons occupent l’espace en grande majorité.

La fin approche, mais contrairement à une fin de tenue - la  il n y a pas de chaine d’union qui rend solidaire tous les frères. Au contraire je double les accidentés de la course qui boitent ou qui marchent suite à des crampes, des blessures ou tout simplement à cause de l’épuisement et les laisse à leur désarroi.  J’ai déjà distribué mon stock de sportenine et vu mon état je ne leur serais pas d’un grand secours de toute façon.

Ste Foy les Lyon, puis Oullins mais en cadeau final on a le droit à une cote bien raide de plus d’un kilomètre et pour finir une belle descente en escaliers.

Enfin Lyon est en vue et surtout le quartier de Gerland avec la ligne d’arrivée dans la halle Tony Garnier, les quais du Rhône, le pont Raymond Barre est une délivrance plus que quelques centaines de mètre. Mon parrain de course est heureux et me félicite tel un franc-maçon le ferait pour son filleul après son initiation, il ne pourra pas passer la ligne d’arrivée avec moi faute de dossard, c’est injuste vu ce qu’il a fait pour moi mais malheureusement indérogeable vu les conditions de sécurité à l’entrée de la halle.

L’adrénaline est forte, je suis à fleur et je le sens bien mais le bon côté c’est que je cours aussi vite qu’au début. Tout est effacé par la joie d’être enfin au bout je rentre dans la halle et tombe directement sur ma femme et mes enfants je tombe dans leurs bras et la pression se relâche enfin les larmes viennent sans que je puisse les contrôler mais je dois quand même les quitter pour passer la ligne d’arrivée qui se trouve quelques dizaines de mètres plus loin. Le bruit est assourdissant, la foule aussi nombreuse que pour un concert et le speaker s’époumone dans son micro pour encourager les runners sur leurs derniers instants dans cette course.

Je passe enfin cette ligne d’arrivée, dix heures de souffrance, de solitude et d’incertitude mais aussi de vrais moments de solidarité, d’amour et d’amitié.

Frère second surveillant ou les apprentis reçoivent ils leur salaire ?
A la colonne ...

Mon salaire m’est distribué par une grand-mère tout sourire et se présente sous la forme d’un tee-shirt avec la mention finisher 72 KMS. 
Je récolte enfin le fruit de mon travail  je rabats ma languette d’apprenti et enfile avec fierté mon trophée. Encore une fois mes frères Gloire au travail.
​
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​F :. Laurent Gi :. de la R :. Loge « La Voie de la Connaissance » 
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